L’engage de plusieurs intellectuelle, surtout, Albert Camus, était de sensibiliser et de diffuser la plupart des écrits de Simone Weil, faisant d’elle un “ami-amant à titre posthume”, beaucoup à chérir une image de Simone sur son bureau. Et pourtant, quand Camus a reçu le Prix Nobel en 1957, entre les auteurs vivants les plus importants pour lui, il a citè Simone Weil “parfois les morts sont plus proches de nous des vivants“, croyant la pensée de Simon comme un antidote au nihilisme contemporain. Une femme que dans le radical pureté a connu l’enthousiasme et de la dépression, de l’ecstasy et de désespoir, offrant simplement le discernement des esprits dans le dialogue avec ses interlocuteurs. Pas quelques-uns parmi ses innombrables lecteurs ont connu la force de son espoir et reconnu une dette spirituelle à elle. Même dans ces «pensées en désordre” nous trouvons la force de sa pensée, sa tension vers l’infini, la recherche d’un amour qui englobe tout de Dieu pour tous.